En 2008 et 2009 chaque dernier jeudi du mois de mai ; puis à partir de 2010 chaque dernier mercredi du mois de mai, le lieu est le théâtre d’un pèlerinage marial réactivant une cérémonie qui s’était éteinte en 1972.

Le site du patrimoine culturel immatériel associé au chêne et sa chapelle perchée se caractérise par le paysage typique d’une rive concave de la vallée de la Seine. Lové au creux d’un méandre, le Bas-Caumont est en effet bordé à l’Est par un long quai fluvial ; il s’adosse à l’Ouest à un coteau abrupt marquant la limite d’un massif forestier, le bois de Mauny, qui s’étend sur une portion du plateau du Roumois. Deux échancrures dans ce relief facilitent la liaison avec le Haut Caumont et la proche campagne : au Sud, la route de la Cavée traverse le bois de Mauny et monte en direction du Bourg de la commune ; au Nord, la route de La Ronce passe devant le château éponyme qui fut autrefois la demeure de la famille De Colombel. La Ronce est aussi l’appellation fréquemment accolée à la chapelle perchée
située aujourd’hui sur le dernier reliquat des terres appartenant encore à cette lignée aristocratique. Le chêne et la chapelle de la Ronce : La singularité de ce lieu perché sur une terrasse surplombant la Seine ne repose pas vraiment sur ses composantes prises individuellement. En effet, du haut de ses 300 ans environ, ni les dimensions ni l’âge du chêne ne sont exceptionnels. Quant à la chapelle édifiée au milieu vers 1845, ni ses matériaux de construction ni ses caractéristiques architecturales ne justifient un intérêt patrimonial particulier. En vérité, la remarquabilité de l’endroit surgit avant tout de l’ensemble chêne – chapelle : le petit espace cultuel enveloppe effectivement la base du tronc de l’arbre. Et l’édifice a été lui-même construit autour d’une statue de la Vierge – à l’origine – posée sur une des branches du vénérable végétal.

En termes d’association du culte religieux chrétien aux arbres on reconnait généralement différentes configurations spatiales. Dans ses formes les plus simples la statue d’un saint ou de la Vierge apparait accrochée à une branche, ou bien calée dans une cavité du tronc. Mais dans ses formes les plus abouties le spécimen végétal est transformé en un véritable espace cultuel, consacré, où des cérémonies religieuses peuvent se tenir. Étant donné généralement le manque d’espace à l’intérieur de l’arbre, l’aménagement en chapelle revêt dans la plupart des cas une dimension purement symbolique, l’accueil des fidèles s’effectuant alors sous les vertes frondaisons. À la lumière de ces différents schémas, celui de la chapelle de la Ronce est d’autant plus intéressant qu’il recoupe toutes ces configurations : le lieu se composait effectivement à l’origine d’un arbre supportant une statue de la Vierge perchée sur une branche. Puis fut édifiée plus tard une chapelle - non à l’intérieur du chêne qui n’aurait pu l’abriter - mais à l’extérieur de celui-ci, perchée, maintenant de ce fait architecturalement l’unité et l’identité de ce monument à la fois végétal et humain.

Puisqu’on est passé de l’espace "statue perchée sur branche" à "chapelle perchée sur arbre", la genèse de la chapelle de la Ronce au beau milieu du XIXe siècle parait s’être accompagnée d’un étrange changement d’échelle qui aurait reproduit les propriétés du lieu. Il est intéressant de souligner que, depuis lors, cet épisode se transmet de générations en générations sous la forme d’une légende. La voici telle qu’elle fut rapportée au cours de l’enquête d’inventaire par Guillaume de Colombel1 :

"Mon arrière grand-père2 avait ordonné à des bucherons de couper ce chêne. Les deux bucherons se sont présentés et ont été interrompus par la nuit. Entre temps, ils avaient eu le temps de descendre la statuette de la sainte Vierge au sol. Ils ont laissé là la sainte Vierge et ils sont rentrés chez eux. Le lendemain ils sont revenus, et "Ô miracle, la sainte Vierge était revenue dans son arbre !". En réalité ce sont des promeneurs3 qui étaient passés par là, qui avaient vu la sainte Vierge et qui s’étaient dits : "Ce n’est pas normal, on la remet sur sa branche !". Et depuis ce jour, "Ô miracle, on a décidé de construire une chapelle"."
Extrait d’entretien avec Guillaume de Colombel – Mai 2009.

Plusieurs enseignements peuvent être tirés de cette légende. Tout d’abord, si on excepte provisoirement l’objection rationnelle (les promeneurs) énoncée par Guillaume de Colombel, cette histoire parait avoir vocation à expliquer l’édification de la chapelle de la Ronce à la suite d’une intervention divine où Dieu aurait manifesté sa présence. Cependant, ce récit confirme surtout l’indissociabilité de la Vierge vis-à-vis du chêne car c’est en essayant de les séparer que les bucherons auraient échoué dans la tâche qui leur était confiée, le retour de la statue dans l’arbre ayant de facto stoppé le projet de son abattage. Ainsi, la relation entre la Vierge et le chêne apparait comme une traduction légendaire de la sacralité du lieu ; une propriété non liée à des manifestations magiques, mais le fait des hommes : ce que signifie la partie du récit précisant que la statue de la Vierge fut replacée par la volonté de "promeneurs", non par une puissance surnaturelle.
Il faut dire que, à bien y regarder, la lutte contre des croyances non chrétiennes se révèle très présente dans la légende de la chapelle de la Ronce. Le projet d’abattage, comme la tentative de dissociation de la Vierge et du chêne, rappellent à maints égards les stratégies qui furent ailleurs déployées pour mettre fin aux pratiques païennes associées aux arbres. Il s’agissait de séparer les manifestations cultuelles de toute racine païenne, la construction de la chapelle de la Ronce paraissant témoigner d’une telle intention : à une certaine échelle la statue de la Vierge est en effet exposée dans un édifice religieux distinct, elle n’est plus portée par le spécimen végétal, et la dissociation semble concrétisée. Sauf qu’à l’échelle supérieure l’accrochage s’avère reproduit puisque l’ensemble du monument dessine une chapelle perchée à un arbre là où jadis n’existait qu’une statue posée sur une branche. Ce mouvement pourrait traduire le combat multiséculaire contre l’antique religion puisque, lorsqu’ils n’étaient pas abattus, les arbres sacrés se voyaient marqués du sceau d’un saint ou de la Vierge, jusqu’à l’édification d’une chapelle dans une forme plus aboutie. Par cette action il s’agissait d’y ancrer la foi chrétienne en dotant ces végétaux d’une fonction d’intercession entre les hommes et Dieu, un pouvoir universel.

D’après ces remarques on mesure combien l’interprétation de la légende de la chapelle de la Ronce fournit une intéressante clef de lecture du site, lequel se révèle plus complexe qu’il n’y parait au premier abord. Chaque élément du récit doit être pris en compte et mis en parallèle avec l’environnement physique et humain existant pour identifier le patrimoine culturel immatériel qui s’y rattache. C’est ainsi que, dans ce contexte légendaire, la nuit tombant au moment même où les bûcherons s’apprêtent à l’abattage est pleine de significations : dans la mesure où elle les contraint à s’interrompre, elle renvoie à un interdit ; la disparition de la lumière laissant entrevoir aux abatteurs une lourde menace face à leur imminente transgression (Cf. divin, étymologie Indo-Européenne, lumière du ciel). L’obscurité est aussi ce qui entretient le mystère quant à la responsabilité des hommes ou d’une intervention miraculeuse dans la remise en place de la statue de la Vierge sur l’arbre. On repère ici la question de la relation au divin qui se manifeste en tout lieu sacré ; une sacralité dont la recharge est nécessairement de la responsabilité des "promeneurs" - en réalité "des pèlerins" - sans lesquels le site perdrait cette propriété.

1 Un des membres de la famille aristocratique De Colombel, propriétaire du terrain où est édifiée la Chapelle Perchée depuis la toute fin du XVIe siècle.

2 Il s’agit vraisemblablement de Jacques Louis Félicité de Colombel (1785-1865), dont la place principal du Bourg de Caumont porte le nom.

3 Selon une variante de la légende il s’agirait de carriers travaillant à proximité, dans les profondes galeries creusées à même la falaise pour l’extraction de la pierre de Caumont. La dangerosité du métier les aurait traditionnellement incités à une grande dévotion, et dans le cas précis à se placer sous la protection d’un arbre à la Vierge.

La chapelle perchée est depuis 2008 le point d’arrivée d’un pèlerinage marial ayant pris le relai d’un précédent qui s’est éteint en 1972. Il importe donc d’inclure le chemin emprunté par cette manifestation au site du patrimoine culturel immatériel se rattachant au binôme arbre – chapelle.

- Le chemin de pèlerinage : Le parcours actuel du pèlerinage de la chapelle perchée se présente comme une version très écourtée de ce qu’il fut jadis. Jusqu’au début des années 1960, le cortège partait en effet de l’église du Haut-Caumont, descendait la Côte de la Cavée, empruntait la route bordant la Seine sur quelques centaines de mètres, avant de gravir un ancien chemin de carrier conduisant vers la chapelle. Après la messe, les pèlerins retournaient vers le Haut-Caumont en coupant à travers le bois de Mauny.

Un changement s’est opéré durant la dernière décennie précédant l’extinction du pèlerinage : son parcours fut réduit de manière significative pour, dit-on, diminuer le danger découlant d’une circulation automobile croissante, le choix ayant alors été fait de supprimer le tronçon entre le Haut-Caumont et le bas de la Côte de la Cavée. Au-delà de ces problèmes de sécurité, on peut se demander si cette réduction drastique du parcours n’aurait pas été tout aussi liée à une diminution de la fréquentation du pèlerinage qui aurait précédé sa suppression totale en 1972. Quoiqu’il en soit, le trajet actuel de la manifestation reprend en partie celui qui avait été tracé à cette époque : le cortège part d’un parking situé sur le quai de Seine, longe le fleuve sur environ 150 mètres, avant d’emprunter l’abrupt ancien chemin de carrier conduisant à la chapelle perchée. Après la messe il n’y a plus de retour vers le Haut-Caumont ; les pèlerins redescendent vers une proche terrasse surplombant la Seine afin de partager le verre de l’amitié, puis se dispersent.

Le patrimoine culturel immatériel attaché à la chapelle perchée se manifeste à travers un pèlerinage marial annuel. Cette cérémonie apparait d’autant plus importante socialement qu’elle investit ce lieu comme le centre symbolique d’un territoire perché au dessus de la Seine, tout en l’instituant tel un seuil permettant aux hommes d’intercéder avec le divin, le pouvoir universel. Elle prolonge de ce fait également le changement d’échelle traduit légendairement par le passage de la branche-statue vers le chêne-chapelle.
Afin de mieux appréhender le pèlerinage de la chapelle perchée, cette 3ème partie de la fiche d’inventaire présente dans un premier temps les enjeux croisés ayant conduit à sa réactivation en 2008 ; dans un second temps une description de cette manifestation permet la mise en relief de ses significations.

La réactivation en 2008 du pèlerinage abandonné en 1972 prend source dans la restauration de l’édifice qui fut entreprise en 2001 par ses propriétaires. Elle a été suivie d’une redécouverte progressive du site par différents acteurs de la vie locale, la population résidente, les touristes,…Et c’est après avoir mesuré le franc succès des visites proposées lors de journées du Patrimoine que fut envisagé de faire revivre la cérémonie qui était autrefois associée à ce lieu. Cette renaissance vint comme le fruit d’une collaboration très étroite entre une animatrice culturelle (communauté de communes du Nord-Roumois) passionnée par le patrimoine, la confrérie de charité de Caumont, le curé de la paroisse, et bien entendu la famille De Colombel propriétaire des lieux. À la lumière des entretiens réalisés au cours de l’enquête d’inventaire, différents signifiés peuvent être dégagés pour expliquer la remise en route de cette manifestation abandonnée 36 ans plus tôt.
Pour la famille aristocratique De Colombel, la réhabilitation du pèlerinage de la chapelle perchée parait d’abord marquer le retour d’une célébration religieuse sur sa propriété. L’évènement renvoie en effet à une période faste au cours de laquelle des offices étaient très régulièrement rendus dans cet édifice dont l’existence est liée à la volonté d’un aïeul, Jacques de Colombel. Derrière la réactivation du pèlerinage il y donc l’idée d’un redémarrage, d’une réanimation, mais aussi le relais d’un héritage qui serait assuré par la nouvelle génération. D’ailleurs, selon Guillaume de Colombel, cette reprise de flambeau se double d’un recueillement à la mémoire des disparus de la famille, si bien que le pèlerinage relève d’un cheminement qui restaure un lien avec les ancêtres comme autant de jalons d’une lignée ancrée sur cette terre depuis la fin du XVIe siècle. Son point d’arrivée, la chapelle de la Ronce4, se situe sur les derniers hectares de la propriété qui ont pu être conservés ; il incarne ainsi ce qui subsiste de la demeure ancestrale de la famille, et célèbre finalement la pérennité de sa territorialité au Bas-Caumont.
Cette célébration de la territorialité familiale n’est pas exclusive. Elle se réalise dans un esprit d’accueil de l’autre car les propriétaires du lieu ouvrent leur terrain au pays proche et, après la messe, le pèlerinage s’achève par un verre de l’amitié offert en plein air. S’observe alors sur une terrasse verdoyante surplombant la Seine un moment de convivialité entre des confréries de charité de différentes communes et des habitants de villages alentours venus participer à la cérémonie. Par ce contact avec l’altérité il s’agit pour la famille De Colombel de renforcer son propre sentiment d’identité, et de partager aussi un patrimoine qui signifie beaucoup aux yeux des Anciens de cette contrée du Roumois.
Il apparait en effet que pour bon nombre de participants ce pèlerinage de la chapelle perchée leur rappelle leur jeune temps, une enfance au cours de laquelle ils avaient parfois pu gravir ce même chemin aux côtés de leurs parents. Il faut dire que traditionnellement la cérémonie était fixée, non seulement en rapport du mois de Marie (mai), mais aussi en fonction du jour où les enfants sont libérés de l’école (autrefois le jeudi). Un chariton de la confrérie locale, d’origine Rouennaise, confiait d’ailleurs qu’une des raisons principales de son attachement à ce lieu et cette cérémonie résidait dans le fait que c’est à Caumont qu’il avait appris à marcher. De quelque côté où l’on se tourne, le pèlerinage de la chapelle perchée restaure donc chez chacun un lien avec son enfance, sa parenté, sa filiation, et reconstruit le chemin de son existence. À la manière du curé de la Paroisse, on pourrait assurer que cette cérémonie s’assimile à un résumé de la vie ; depuis la jeunesse (se mettre en route) vers les difficultés de l’âge adulte (le terrain abrupt à arpenter), avant la vieillesse (la fatigue) puis la mort (une communion avec Dieu, la messe dans la chapelle).

On devine d’après ces remarques que le pèlerinage de la chapelle perchée apparait tel un complexe entrelacs de temps et d’espaces. S’y côtoient le niveau d’existence individuel inscrit dans une parentalité et une lignée ; on assiste ainsi à la rencontre de temporalités différentes. Cependant on distingue tout autant un singulier emboitement des échelles : un lien fort unit en effet au cours de cette cérémonie la chapelle perchée sur son arbre, la verdoyante terrasse surplombant la Seine où se donne le verre de l’amitié, et le plateau du Roumois partagé entre forêts et noyaux villageois. Par ailleurs, à chaque niveau on retrouve cette dualité entre l’Homme et le végétal à l’origine du site de la chapelle Perchée. Les noyaux villageois du Roumois se manifestent quant-àeux à travers la présence des confréries de charité. Ces dernières défilent en arborant leurs bannières, expriment ainsi l’identité des différentes communautés au cours du pèlerinage. Mais elles marchent de concert, en faisant sonner les tintenelles, et rappellent de cette manière leur fonction de prise en charge des défunts dont elles portent traditionnellement les corps jusqu’au cimetière. Le pèlerinage de la Chapelle perchée, s’il signifie le cours de l’existence, traduit donc aussi le lent cheminement de chacun vers l’inévitable seuil de la mort.
On voit que le site du Bas-Caumont apparait chaque année être le théâtre d’une célébration de la vie, de la mort, et du renouvellement des générations sur un territoire. Les hommes, les femmes, les enfants, et les confréries de charité qui défilent à cette occasion se réinscrivent dans une même filiation en convergeant en un flux unique vers la chapelle perchée où ils communient avec le Divin. De ce point de vue, cette manifestation se révèle la traduction d’un vivre ensemble par delà la diversité des mémoires, des trajectoires individuelles, familiales, par delà les identités villageoises qui sont invitées – le temps d’une cérémonie – à s’unir. Le pèlerinage revêt un sens patrimonial qui réaffirme la cohésion du territoire. Ces échelles qui s’élargissent vers la globalité sont le rappel d’une identité qui ne peut se maintenir qu’en demeurant toujours ouverte, en relation avec des ensembles plus vastes. En vérité, le succès de la réactivation du pèlerinage de la chapelle perchée s’explique peut-être dans la mesure où cette manifestation rencontre aujourd’hui une conjonction d’aspirations favorables à la restauration de l’unité de cette contrée du Nord-Roumois.

4 Quand cet édifice prend le nom du Château familial vendu après la Seconde Guerre Mondiale.

Voici, en images, les principales étapes du Pèlerinage de la chapelle perchée.

Le jour de la cérémonie, l’ancien chemin de carrier visible au premier plan doit être arpenté par les pèlerins.

Départ de la cérémonie sur le quai de Seine. En tête de cortège le porteur de Croix, Maître de la Confrérie de Charité de Caumont, est suivi des sonneurs de tintenelles. Les autres membres des Confréries de Charité marchent derrière les ecclésiastiques et précèdent le reste des pèlerins qui ferment le défilé.

Le cortège a bifurqué vers le flanc du coteau et entame sa montée de l’ancien chemin de carrier. Préservant l’unité de l’ensemble, de fréquentes haltes permettent d’attendre les pèlerins peinant à gravir la pente.

Le cortège des pèlerins poursuit son ascension vers la Chapelle Perchée. Il passe sous le chêne avant le dernier virage du chemin de pèlerinage.

La tête de cortège atteint le seuil de la chapelle, laquelle peut contenir une vingtaine de personnes. Les plus âgés s’y installent en priorité ; les autres pèlerins se tiennent à l’extérieur où sont disposés des bancs.

La messe achevée, le porteur de la croix et les sonneurs de tintenelles prennent à nouveau la tête du cortège qui se reforme pour descendre par le même chemin vers une grande terrasse où sera partagé le verre de l’amitié.

La cérémonie religieuse s’achève à proprement parler lorsque le cortège atteint la verdoyante terrasse surplombant la Seine. À cet instant, les tintenelles se taisent et la plupart des frères de charité déposent à terre leur chaperon. Un moment de convivialité civile débute, avant la progressive dispersion de l’ensemble.

Personne(s) rencontrée(s) / Qualité(s)

- Buquet Jacques / Frère de charité (confrérie de charité de Caumont)

- De Colombel Guillaume / Membre de la famille De Colombel propriétaire de la chapelle perchée

- Dedecker Albert / Curé de la paroisse Notre-Dame-du-Roumois

- Lesage Michèle / Chargée de l’animation et de la culture – communauté de communes du Roumois-Nord

Localisation (région, département, municipalité)

Région : Haute-Normandie
Département : Eure (27)
Commune : Caumont

Longitude : 0°54’50’’E
Latitude : 49°22’51’’N

Municipalité, vallée, pays, communauté de communes, lieu-dit…
Commune de Caumont
Communauté de Communes du Roumois-Nord
Pays du Roumois

Adresse : Office de tourisme du Roumois, 1 Place de la Liberté
Ville : Routot
Code postal : 27 350

Téléphone : Office de Tourisme du Roumois / 02 32 56 46 07
Fax : Service Animation et Culture du Roumois / 02 32 57 35 74
Adresse de courriel : Service Animation et Culture du Roumois / orfol@aol.com
Site Web

Dates et lieu(x) de l’enquête : Mai 2009 – Caumont (27)
Date de la fiche d’inventaire : Octobre 2009
Nom de l'enquêteur ou des enquêteurs : Yann Leborgne (Chargé de mission, CRECET de Basse-Normandie)
Nom du rédacteur de la fiche : Yann Leborgne (Chargé de mission, CRECET de Basse-Normandie)

N° d'inventaire Ministère Culture : 2009_67717_INV_PCI_FRANCE_00072
Identifiant ARK : ark:/67717/nvhdhrrvswvk2rd

Comment contribuer à l'inventaire : la méthode : http://pcilab-new.huma-num.fr/contribuer
Accéder à la fiche sur Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chapelle_Notre-Dame-de-la-Ronce

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