Le jeu de la Balle au tambourin est un descendant des jeux de longue paume, pratiques par les Grecs puis les Romains dans l’Antiquité. Il est issu du « Jeu de ballon avec brassard » pratiqué dès le XVIe siècle en Languedoc.

La balle au Tambourin est qualifiée de « véritable sport de compétition ancré dans la culture et le patrimoine » par la Fédération Française du Jeu de Balle au Tambourin. C’est un jeu de stratégie et un sport collectif qui permet de développer agilité, rapidité, puissance et endurance physique. Il est originaire de l’Hérault et pratiqué à 95% dans ce département.

Il consiste en l’affrontement de deux équipes sur un terrain en extérieur ou en intérieur. En extérieur, le jeu peut se dérouler de jour ou de nuit, du mois d’avril au mois de septembre. Le jeu en gymnase est également pratiqué en zone hivernale depuis 1978. En extérieur, chaque équipe se compose de cinq joueurs sur le terrain, ayant chacun une zone à défendre, et de deux remplaçants. Deux joueurs, appelés des « fonds », se positionnement au fond du terrain et ont pour tâche l’engagement de la balle et son renvoi le plus loin possible dans la partie du terrain adverse. Ils construisent l’échange, grâce à des balles hautes dites « balles en cloche ». L’un d’eux est appelé batteur », lorsqu’il met la balle en jeu à l’aide soit du tambourin, soit du battoir français. Pendant 140 ans, l’engagement s’est fait uniquement au battoir ; depuis peu, il peut se faire avec le tambourin, bien qu’une tendance à revenir au battoir obligatoire se manifeste. Le joueur situé au centre du terrain d’une équipe s’appelle le tiers. C’est un attaquant, mais il peut se retrouver en position de défense selon sa position, renvoyant notamment les balles trop courtes pour les fonds. Il est donc un élément fort mobile de l’équipe, assez polyvalent, qui doit faire preuve de stratégie et de capacité d’analyse du jeu. Les deux derniers joueurs, au plus près de la corde (ligne médiane séparant le terrain, dite « ligne basse »), sont des « cordiers » ou « finisseurs ». Leur rôle est de terminer le point dès qu’ils ont la balle. Leur mobilité est très importante et leur gestuelle peu précise, en raison de leur rapidité d’action et de leur proximité au terrain adverse. Ils doivent essentiellement contrer les adversaires et intercepter la balle. En extérieur, le claquement de la balle sur le tambourin et la grandeur du terrain qui permet de frapper la balle à plat de toute ses forces, rendent le jeu très agréable. Voilà pour le tambourin traditionnel joué du printemps à la fin de l'été. En intérieur, les joueurs ne sont plus que trois et deux remplaçants; en raison de la moindre longueur du terrain, les fonds disparaissent. L’engagement s’y fait uniquement au tambourin.

Une partie se joue en 13 jeux gagnants, chacun constitué de quatre points : 15, 30, 45 et jeu. A 45/45, il y a un point intermédiaire dit avantage pour gagner le jeu. Le retour à l’égalité n’est possible qu’une seconde fois ; la troisième donne lieu à une balle décisive. Tous les trois jeux, les équipes changent de côté de terrain. Chaque équipe engage la balle à tour de rôle un jeu durant. Les balles peuvent être relancées après un rebond ou directement, à la volée. Le point est gagné lorsque l’équipe adverse ne peut rattraper une balle tombée dans les limites du terrain. Cependant, certaines fautes font perdre le point à une équipe : deux joueurs d’une équipe touchent la même balle ; la balle sort du terrain ; la balle rebondit deux fois ; un joueur pénètre dans le camp adverse.

Il existe différents niveaux de classement des joueurs, selon l’âge et le sexe. Chez les adultes, il y a trois niveaux nationaux (Nationale 1, Nationale 2 et Ligue) et trois niveaux régionaux (Régionale 1, Régionale 2 et Régionale 3) ; chez les enfants et adolescents, il y a quatre niveaux (Poussins, Benjamins, Minimes et Cadets).

Tambourin : Cet instrument principal du jeu est constitué, depuis les années 1975, d’un cercle en plastique de 28 cm de diamètre pour les adultes, 26 cm pour les enfants, sur lequel une toile synthétique est tendue. Lors de sa création, en 1861, le tambourin consistait en un cercle de bois et d’une peau de porc, puis de chèvre. La peau de chèvre parcheminée présentait le désavantage de se détendre par temps humide. Depuis 1954, le tambourin en peau de mulet, en usage en Italie, remplaça la peau de chèvre française ; il était plus résistant à l’humidité. Ces premiers tambourins ne possédaient pas de poignées, contrairement aux tambourins actuels dotés de poignées en cuir, à l’instar des tambourins italiens. En salle, le tambourin semi-sonore est le seul instrument de jeu (engagement compris) depuis 1978.

Balle : De couleur blanche ou rouge, la balle de jeu est en caoutchouc et mesure environ 65 mm de diamètre et pèse 59 grammes. En salle, il s’agit de balles de tennis dépressurisées (réf. Artengo 710).

Battoir : Utilisé uniquement en extérieur pour l’engagement de la balle, cet instrument est un tambourin avec un manche flexible, proche d’une raquette : son cercle est plus petit (18 cm) et le manche mesure de 80 à 100 cm. Dans les années 1860, date de sa création, le battoir était obligatoire pour servir ; le terrain mesurait 100 mètres de long et le battoir permettait une grande vitesse de balle.

Mandoline : D’usage bien plus fréquent en Italie qu’en France, la mandoline n’est également utilisée que pour l’engagement de la balle. Elle est de forme ovoïdale, proche d’une goutte d’eau.

Depuis 1955, les français achetaient tout leur matériel en Italie. Mais en 1983, des bénévoles créent la fabrique associative LOUJOC à Balaruc-les-Bains. En 2005, elle est rebaptisée France Tambourin, absorbée et gérée par la Fédération Française de balle au tambourin. En 2007, toutes deux déménagent pour des locaux à Gignac.

La fabrique propose des tambourins et des battoirs de bonne qualité réalisés selon le savoir-faire traditionnel. Dotée du meilleur matériel, elle fabrique des tambourins de différentes tailles, différents styles, matières et couleurs.

En 1983-1984 a été crée la première et unique fabrique de tambourins de France, à Balaruc-les-Bains. Elle utilise des technologies avancées et peut fonctionner de façon automatique.

Avant la rencontre avec les italiens, des fabriques françaises existaient à Montpellier, Pézenas et Béziers ; les tambourins fabriqués étaient en bois et peau de chèvre. De 1954 à 1983, le matériel provenait d’Italie.

France Tambourin offre à un joueur de multiples possibilités dans le choix de son tambourin. Il est possible de choisir :

- La taille du cercle : 28 cm (diamètre pour les adultes), 26 cm (diamètre pour les poussins et benjamins) ;

- Le cercle : Cercle en bois de 18 cm (battoir), Cercle ABS de 26 cm (plusieurs couleurs disponibles), Cercle ABS de 28 cm (plusieurs couleurs disponibles), Cercle Transparent de 28 cm, Cercle Evolution de 28 cm, Cercle Transparent de 28 cm spécifique pour double joint ;

- Le joint : le joint « léger », le joint « lourd », le « double joint » ;

- La toile : la toile blanche (à priori la plus résistante), la toile normale, la toile fine, la toile intermédiaire ;

- La tension de la toile ;

- Le logo.

Il est cependant recommandé aux débutants de choisir un tambourin avec un cercle pour enfants, une toile peu tendue (38 bars suffisent), et une protection pour le tour complet sauf la poignée, qui doit rester souple.

A l’origine, le jeu se déroulait sur les places publiques, places de villages essentiellement. Dans les années 1970-1980, nombre de ces places furent transformées en parkings. Des terrains de jeux de Balle au Tambourin ont ainsi disparu, tels ceux de la place des Arceaux de Montpellier ou le terrain de Pézenas. Cette modification urbaine a cependant engendré la création de nombreux terrains spécifiques à la pratique de la Balle au Tambourin. Depuis les années 1990, le jeu s’est développé dans les gymnases, avec une pratique plus adaptée au sport en salle ; cette pratique en intérieur se diffuse un peu partout en France.

En extérieur, le terrain est un rectangle de terre battue, de bitume ou de revêtement synthétique, dont la taille est adaptée aux joueurs : 80 mètres de long et 18 à 20 mètres de large pour les hommes, 70 mètres de long et 18 à 20 mètres de large pour les femmes, des tailles réduites pour les plus jeunes. Une ligne médiane au centre du terrain délimite les deux aires de jeu de chaque équipe. Depuis 1937 en Italie et 1990 en France, le tambourin se pratique également en salle. Le terrain ne mesure plus que 34 mètres de long sur 16 mètres de large pour tous les joueurs, et une zone neutre de 2 mètres de part et d’autre de la ligne médiane a été instituée, uniquement lors de la mise en jeu.

Le jeu est aujourd’hui pratiqué dans de nombreuses écoles, s’assurant ainsi une certaine diffusion par le biais de la jeunesse.

La pratique passe également par la fédération, du niveau initiation au plus élevé, par observation et apprentissage des règles et techniques de jeu.

Historique général :

Le jeu de la Balle au tambourin est un descendant des jeux de longue paume, pratiques par les Grecs puis les Romains dans l’Antiquité. Il est issu du « Jeu de ballon avec brassard » pratiqué dès le XVIe siècle en Languedoc. Ce jeu du brassard se jouait essentiellement à quatre contre quatre et consistait à se renvoyer une grosse balle ou ballon, à l’aide d’un cylindre de bois, dit brassard, pour se protéger la main. En 1861, le brassard fut abandonné par les joueurs au profit du tambourin, plus maniable et plus efficace : il permettait d’envoyer les balles plus loin. Dans la première moitié des années 1880, l’usage des balles en caoutchouc se répand. C’est probablement la période où le jeu de Balle au Tambourin passe de quatre contre quatre à cinq contre cinq. Les joueurs de tambourin adoptent cette nouvelle balle, plus adaptée à la taille des tambourins. Hormis ce nouvel équipement, le jeu de balle au tambourin conserve les mêmes règles et espaces de jeu que le jeu de ballon avec brassard.

Jusqu’au début des années 1900, le jeu de balle au tambourin est surtout pratiqué durant les fêtes de villages. En 1909, les premiers concours sont crées à Pézenas et à Bessans ; ce dernier ne sera pas reconduit. En 1921 est crée le concours de Montpellier. Tous rassemblent les équipes de l’Hérault. Les règles adoptées sont alors celles du village organisateur, chacun ayant ses propres règles. Les premiers clubs sont déclarés en préfecture après la première guerre mondiale, et une première fédération est créée en 1923. En 1922, le journal L’Eclair met en place le premier championnat du Languedoc, qui oppose les champions des concours de Pézenas et Montpellier. Il organisera également un concours à Marseille en 1922 devant son siège. A sa suite, la fédération organise un championnat de France, adapté au rythme saisonnier des agriculteurs, principaux acteurs de ce jeu à l’époque. De Narbonne à Marseille, 143 équipes y participent. A partir des années 1930, la pratique connaît une baisse sensible, voire une crise en 1935 qui annonce la disparition du jeu. Le jeu souffre alors de son manque d’organisation, notamment l’absence d’un règlement unique, et de son peu de diffusion. En 1931, les championnats du Languedoc et de France n’existent plus, pas plus que le concours de Montpellier ; seul celui de Pézenas perdure jusqu’en 1937.

 

Historique particulier de l'entreprise, de la personne ou de l'organisme, de la forme d'expression ou de l'espace culturel faisant l’objet de la fiche :

En 1938, un écrivain et joueur passionné, Max Rouquette, crée une nouvelle fédération, la Fédération Française du Jeu de balle au Tambourin, marquant sa renaissance. Cet essor est ralenti avec la seconde guerre mondiale. Mais dès 1949, la toute jeune fédération crée une Coupe de France, initialement appelée Coupe du Languedoc, puis un championnat de France, officiel cette fois-ci, en 1952. Jusqu’en 1954, le jeu est pratiqué en Languedoc selon les règles du Jeu de ballon au brassard, règles datant de l’Antiquité. Parmi ces règles, il existe celle dite des « chasses » : les joueurs pouvaient faire rouler la balle à partir de leurs pieds le plus loin possible dans le camp adverse. Au point d’arrêt de cette balle était délimitée la nouvelle corde ; en conséquence, au changement de terrain, les joueurs n’avaient plus qu’une toute petite partie de terrain à défendre. Une autre règle, dite « faire une close » consistait à valider le point par le simple fait de parvenir à envoyer la balle au-delà de la ligne de fond de terrain des adversaires, ce qui nécessitait une force non négligeable compte tenu de la longueur du terrain. Ce n’était possible qu’à la reprise du Tambourin et non à l’engagement au battoir.

Par un échange de courriers tout d’abord, puis, en 1954, lors d’un voyage en Italie, Max Rouquette découvre qu’un jeu fort similaire à la balle au tambourin y est pratiqué, le tamburello. Les fédérations des deux pays décident alors d’unifier et de codifier les règles du jeu ; la France adopte les règles et instruments italiens : peau de mulet et poignée en cuir, « jeu ouvert » dans lequel les règles des « chasses » et de la « close » n’existent plus. C’est le règlement encore en vigueur aujourd’hui. En 1955, les deux pays organisent la première rencontre France-Italie, qui deviendra rencontre annuelle dès lors. En France, le jeu de balle au Tambourin est demeuré un sport de village, tandis qu’en Italie, il fait partie des sports semi-professionnels.

En 1988, la Fédération internationale de Balle au Tambourin est créée, avec son siège en Italie. Dans les années 1990, avec l’essor du jeu en salle, sont créées les coupes d’Europe, Coupe d’Europe extérieure et Coupe d’Europe en salle. Les compétitions se multiplient, avec l’apparition de nombreuses coupes, des trophées et grands prix départementaux et régionaux : Trophée Léopold Bellas, Trophée Marc Armet, coupe Nelson Paillou, Grand prix du Conseil Général. Le Jeu de balle au tambourin sort peu à peu des frontières du Languedoc, comptabilisant au total en France en 2007 quelques 5580 licenciés. D’après la Fédération, le jeu se pratique aujourd’hui dans l’Aude, vers Narbonne, dans les Bouches-du-Rhône, à Marseille, en Corrèze, dans le Gard, la Haute-Savoie, l’Hérault, le Nord, du côté de Valenciennes, et dans l’Oise. Il existe aujourd’hui un club à Monceaux, en Dordogne. La version du jeu en salle se diffuse cependant bien plus que celle en extérieur, notamment en Europe. Sous ses différentes formes (extérieur, intérieur, plage), il serait ainsi pratiqué en Allemagne, en Angleterre, en Autriche, au Brésil, à Cuba, en Catalogne, en Ecosse, en Espagne, en Irlande, en Italie, au Japon, en Hongrie, en Norvège et aux Pays-Bas. En 2012, la première coupe du monde en extérieur a été organisée à Gignac (34) ; les français et les françaises l’ont emporté sur les italiens.

- Exposition ;

- Festival ;

- Site-internet ;

- Boutique ;

- Foire / salon ;

- Autre : Tambourithèque à Gignac, dans l’Hérault. Nombreuses Vidéos disponibles sur les sites internet.

Au siège social de la Fédération, à Gignac (Hérault), un espace a été crée, dédié au jeu de la balle au tambourin. La tambourithèque propose de découvrir l’histoire de ce sport, au travers notamment d’affiches anciennes et de vieux instruments de jeu, avec des explications sur leurs techniques de fabrication. Elle permet également de mieux appréhender les différentes facettes du jeu, par une exposition de santons mimant les différentes postures et gestuelles lors d’une partie. La tambourithèque propose aussi d’assister au montage en direct d’un tambourin dans la seule fabrique de France, attenante au local de la Fédération.

En 1993, une démonstration de Balle au tambourin a eu lieu aux jeux Méditerranéens disputés en Languedoc.

La Ligue de Balle Tambourin met en place de nombreuses actions de valorisation :

- Participation à la vie active sportive de la Région : Salon et assises du sport, « Festival des Sports traditionnels organisé par le Comité Régional Olympique et Sportif, Salon Sport et Santé, Foire de Promaude, Total Festum ;

- Prêt de matériel gratuit pour toutes les personnes désireuses de promouvoir l’activité ;

- Edition d’un annuaire des clubs de Languedoc-Roussillon en partenariat avec « Lo Cirdòc » ;

- Partenariat avec « Lo Cirdòc » et les Calandretas pour que le Tambourin devienne le sport représentatif de la région occitane ;

- Organisation d’un stage de perfectionnement pour les jeunes joueurs (Benjamins et Minimes), chaque année pendant une semaine en pension complète durant les vacances de Pâques ;

- Création d’une Equipe Technique Régionale (ETR) ;

- Prestations d’une ou plusieurs séances pédagogiques auprès d’établissements scolaires (écoles primaires, collèges et lycées ainsi que des établissements situés en zone rurale ou en zone urbaine sensible) ;

- Partenariat avec le Comité Régional Handisport et la Ligue de Sport adapté pour que le tambourin devienne un sport accessible à tous ;

- Promotion d’une nouvelle variante du sport : le « Beach-Tambourin », par la mise en place d’initiations, d’animations et de tournois durant la période estivale.

19 janvier 1939 : Création de la Fédération Française de Jeu de Balle au Tambourin.

1988 : Création de la Fédération Internationale de jeu de balle au Tambourin à Mantoue (Italie).

18 Octobre 1996 : Création de la Ligue Languedoc Roussillon.

Sites Internet :

http://ffsport-tambourin.fr/pages/le-tambourin/
http://michelsabatery.canalblog.com/
http://www.tambourin-liguelr.fr/pages/le-jeu-de-balle-au-tambourin.php
http://www.loupic.com/+-Tambourin-+.html

Presse régionale :

L’Eclair, le Petit Méridional, Midi Libre, la Marseillaise.

Ouvrages :

GUIRAUD, Christian. L'histoire singulière d'un sport de “tradition” régionale : le tambourin. In : Cent ans de sport dans l'Hérault, Saint-Gély-du-Fesc, Hors Série, Études héraultaises, septembre 2010, pp. 109-119.

ROUQUETTE, Max. Le Jeu de la balle au tambourin. Toulouse-Paris, Institut d’études occitanes, Maisonneuve, 1948.

_______________ Le livre du tambourin. Un grand sport international en plein essor. Histoire, principes, techniques, tactiques, apprentissage, entraînement, état présent, aspects internationaux. Montpellier, Centre régional de documentation pédagogique, 1986.

ROUQUETTE, Max & CAMBEROQUE, Charles. Le jeu de balle au tambourin. Gignac, Bibliothèque 42, 1998.

SABATÉRY, Michel. Évolution des jeux de longue-paume de l'antiquité à nos jours - Du jeu de ballon avec brassard au jeu de balle au tambourin dans le Languedoc. A paraître.

D’après la presse régionale (Midi-Libre du 16/06/2012), le sport tambourin, au travers du club de Viols-le-Fort, devrait faire prochainement son entrée au Museon Arlaten, musée départemental d’ethnologie, d’Arles.

Nom et rôle et/ou fonction de la personne rencontrée :
Eric Dejean, responsable du service des sports, ville de Gruissan, Célia Delanoy, éducatrice sportive à la Ligue Languedoc Roussillon de jeu de Balle au Tambourin Michel Sabatéry, particulier.

Municipalité, vallée, pays, communauté de communes, lieu-dit… :
Gruissan et Narbonne, Aude.

 

Adresse : Mairie de Gruissan, Rue Jules Ferry.
Ville : Gruissan.
Code postal : 11 430
Téléphone : 04 68 75 21 15
Adresse de courriel : edejean@ville-gruissan.fr
Site Web : http://ffsport-tambourin.fr/

 

Dates et lieu(x) de l’enquête : Juillet 2012, Gruissan.
Date de la fiche d’inventaire : 25 Juillet 2012.
Nom de l'enquêteur ou des enquêteurs : Karine Michel.
Nom du rédacteur de la fiche : Karine Michel – Ingénieur de recherche Université de Nantes.

 

N° d'inventaire Ministère Culture : 2012_67717_INV_PCI_FRANCE_00267
Identifiant ARK : ark:/67717/nvhdhrrvswvk2k0

Comment contribuer à l'inventaire : la méthode : http://pcilab-new.huma-num.fr/contribuer
Accéder à la fiche sur Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Balle_au_tambourin

Generated from Wikidata