Thierry Chapoulie perpétue l’art des lauziers à Saint-Geniès.

Thierry Chapoulie perpétue l’art des lauziers à Saint-Geniès. Le travail de la lauze offre des réalisations rares. Les techniques sont ancestrales ; elles différent en fonction de la roche utilisée pour la couverture, de la forme des toitures et des savoir-faire régionaux. Les toitures en lauze sont très résistantes et ne craignent pas la foudre. Elles sont souvent exposées aux vents et aux intempéries. On dit que la principale qualité de la lauze est qu’elle est faite pour durer cent ans.
La couverture en lauzes est un travail long et complexe qui exige une très grande connaissance de cette pierre calcaire. Il s’agit de retailler des blocs de 40 kg de pierre avec une réalisation de 1 m² en moyenne de pose par jour et par personne et un coût élevé de 500 à 1000 euros le m². Cette pierre calcaire pèse 700 kg au m² ; elle est taillée selon des règles très précises avec un marteau forgé comme il y a 200 ans. Dans le Périgord on peut observer une pose des lauzes en tas de charge sur des lattes de châtaigniers. Les lauzes sont insérées entre les lattes ; celles-ci servant de support tout en permettant de bloquer chaque lauze. Cette technique de couverture est en voie de disparition en France parce que les lauzes lourdes, coûteuses, et longues à poser sont souvent remplacées par des ardoises industrielles, des tuiles ou des plaques de tôle galvanisée ou d’acier laqué nécessitant moins d’entretien.

- Avant d’entamer ce travail de couverture, Thierry Chapoulie procède au calibrage et à la taille des lauzes. Il les trie selon leurs dimensions pour déterminer leur place sur le toit. Les plus grandes par exemple seront utilisées pour la base.

- Il les taille minutieusement à l’oreille. Un marteau suffit pour préparer chaque lauze en enlevant les reliefs gênants. Un son de cloche est émis lorsque l’on tape sur la lauze par coups secs. Différents formats de pierres sont nécessaires. Chacune d’elles nécessitent une opération spécifique puisqu’elles sont différentes. Un son grave casse la pierre. Ainsi les lauzes sont taillées très finement à quelques millimètres d'épaisseur pour s’adapter à celle du dessous et pour accueillir celle du dessus. Il faut plusieurs mois pour faire assez de pierres pour couvrir le toit d'une seule maison. L’identification des différents formats, la taille de chaque pièce et le transport des lauzes les plus lourdes demandent beaucoup de temps.

- Elles sont ensuite fixées sur la toiture. La technique de pose est locale ; elle se fait sur une sorte de plancher en bois. Il faut construire une charpente suffisamment robuste pour en supporter le poids élevé. Ainsi les bois de châtaigniers sont sciés et pelés pour fabriquer les lattes qui bloquent chaque lauze entre elles et les empêchent de glisser. Elles restent ainsi solidaires de ces robustes charpentes.

- La progression de la pose se fait par rangs horizontaux successifs et la charge des pierres se répartit de façon homogène sur la charpente. Elles sont posées avec une légère pente. Plus la pente est forte, plus la charge va sur les murs ce qui soulage d’autant la charpente. Au contraire, si la pente est faible, la charpente porte beaucoup plus et doit être plus forte. Elle doit en outre être surveillée de près pour supporter non seulement le poids des lauzes mais aussi les charges de neige en cas d’intempéries. Il faut porter une attention particulière à l’étanchéité avec des épaisseurs de pierres qui empêchent les infiltrations d’eau et de poussière.

Suivant les régions la lauze peut se nommer lauze, lave, platin. Ce terme désigne différents minéraux utilisés en couverture. Les deux grandes familles sont la lauze de schiste (basalte, phonolite, certaines lauzes de grès) et la lauze calcaire. Elle est une pierre plate relativement dure utilisée pour les toitures des maisons principalement en montagne. Elle est plus épaisse que l’ardoise. Afin de supporter son poids lourd, elle ne saurait reposer que sur une lourde charpente. Aujourd’hui le savoir-faire de lauzeron est menacé de disparition parce que cette matière première manque faute de carrières dites lauzières. Du fait de sa rareté, les toits de lauzes coûtent alors plus cher. Actuellement une lauze de récupération est posée sur les toits ce qui met en péril l’activité même parce qu’elle entraîne la destruction du patrimoine existant (il faut détruire deux ou trois toits pour en reconstruire un).

Thierry Chapoulie intervient sur un rayon de 20 kilomètres environ autour de Saint-Geniès. Il réemploie les matériaux déjà extraits des carrières environnantes puisque les lauzières françaises sont quasiment inexistantes. Les carrières de Dordogne ont disparu. Lorsqu’elles existent il faut d’une part obtenir l’autorisation par l’État d’extraire les pierres puis verser une redevance élevée au propriétaire-exploitant de la carrière. Il n’y a plus de carrières comme jadis celles qui fonctionnaient dans un rayon de proximité par rapport aux projets de construction. Il est impossible de restaurer un toit en lauze même s’il faut ouvrir sa propre carrière compte tenu du coût élevé de cette autorisation. Thierry Chapoulie récupère les lauzes anciennes sur des maisons en mauvais état dans la région qui proviennent de toitures démolies ou refaites. Il procède alors à un premier tri de ce qui pourrait être utilisable (il peut y avoir 30 à 40% de déchets) et retaille les lauzes qui sont généralement usées par le temps (climats, tapis de mousse, humidité). Il faut les remettre en forme. Un deuxième tri s’opère pour éliminer les lauzes tendres et friables risquant d’être trop fragiles et poreuses. Généralement il préfère racheter un lot qu’il démontera lui-même du toit parce qu’il est difficile même pour un œil averti d’évaluer la valeur en récupération d’un tas de lauzes en sol (achat de 100 euros le m³ sachant qu’il faut 1m³ pour 5m² de lauze).

Thierry Chapoulie travaille aujourd’hui avec son stock de lauzes qui s’épuise avec le temps. Il se sent abandonné dans sa profession dans la mesure où aucune action n’est mise en oeuvre pour résoudre ce problème d’approvisionnement. Il rajoute que certains particuliers pas toujours informés de la valeur patrimoniale de la lauze s’en débarrassent et contribuent à accentuer la pénurie. La mise en place d’une filière lauze permettrait non seulement de se réapproprier et de valoriser une technique ancestrale mais aussi de relancer la production d’une lauze de qualité et de différencier le produit dans l’esprit du consommateur. Le métier sera reconnu ce qui justifiera les différentes gammes de prix et nécessitera la mise en œuvre d’une filière de formation avec des créations d’emplois.

Le travail de la pose des toitures en lauze se fait selon les méthodes ancestrales qui n’ont pas changé : un marteau forgé comme il y a 200 ans suffit pour préparer chaque lauze à poser.

En général il faut un échafaudage de pied pour la couverture en lauzes. Thierry Chapoulie travaille avec un matériel lourd de manutention et d’élévation qu’il souhaiterait renouveler pour intervenir de façon plus opérationnelle sur les gros chantiers. Il voudrait pour cela bénéficier d’une aide régionale pour l’achat d’un manitou estimé à 94 000 euros.

Les chantiers qui concernent les toitures en lauze sont plus conséquents que les chantiers concernant les toitures dites classiques. Leur durée est beaucoup plus longue. La lauze se fait plus rare du fait de son prix bien plus élevé que toute autre forme de couverture, telles que l'ardoise ou la tuile. De plus, une couverture en lauze demande pour une habitation, des murs épais en pierre et une solide charpente. La réussite de l’opération dépend de la bonne qualité du rapport maître d’œuvre/exécutant qui décide ensemble des nombreux détails d’exécution.

Les toits de lauze sont caractéristiques d’une partie du département de la Dordogne. On les trouve en grande majorité dans le Périgord noir. Pour comprendre ce qu’est la lauze, il faut selon Thierry Chapoulie aller l’admirer à Saint-André-d’Allas et dans des villages du Périgord noir à Saint-Geniès ou Archignac. Il a d’ailleurs beaucoup travaillé dans ces villages, de même que sur les toitures du château de Fénelon ou la Maison de la Sirène à Collonges-la-Rouge en Corrèze.

Les centres de formations ne proposent pas de filière d’apprentissage pour la lauze qu’elle soit en schiste, en phonolite, en calcaire ou en grès. Aucune formation n’existe aujourd’hui pour transmettre ce savoir-faire. La pose de la lauze ne s’apprend que sur le chantier et nécessite une longue expérience. Thierry Chapoulie tient ses connaissances de son père et de son grand-père avec une parfaite maîtrise acquise au bout de dix années de pratique. Même si cela fait son charme, le travail de la lauze est long puisque l’on avance que de 1 m² par jour et par personne.
C’est un travail physique et répétitif où il faut intervenir malgré le froid ou la forte chaleur. Selon lui les jeunes sont attirés de nos jours par la facilité et la rapidité. Il ne trouve pas d’apprentis qui souhaitent exercer cette activité malgré qu’il ait accueilli une vingtaine de jeunes de la région dans son atelier.

La couverture en pierre calcaires concerne de nombreuses régions dans le monde et son emploi remonte à la plus haute antiquité. Les premiers exemples sont naturellement les mégalithes de l’époque néolithique. On la trouve en Yougoslavie, en Grèce, au Moyen-Orient, dans le Sud de l’Italie, en Suisse, en Irlande. L’emploi de la lauze calcaire a concerné de nombreuses régions de France et plus particulièrement la Bourgogne, l’Allier, le Cher, le Poitou, la Saintonge, le Périgord et d’une manière générale, toutes régions pouvant disposer de pierres en plaques minces. Dans le sud de la France, nombreuses sont les églises couvertes de tuile canal avec un chevet en laves calcaires. On rencontre assez souvent des édifices couverts en tuiles plates dont les premiers rangs d’égout sont en lave calcaire. Actuellement, l’on considère que les principales régions concernées sont la Bourgogne et le Périgord. Chacune d’elle correspond à un mode de pose particulier. Ces matériaux sont lourds, ils ne se transportent pas et leur utilisation reste toujours locale. Ce calcaire qui a couvert pourtant d’importants édifices est trop provincial pour intéresser les ouvrages spécialisés. […] Dans la vallée de la Saône, les laves sont rares, et priorité est donnée aux châteaux. Les fouilles faites au village de Dracy en Bourgogne, abandonné entre 1400 et 1420, ont permis de retrouver les grandes dalles plates de couvertures datant des XIIIe et XIVe siècles.

Autour du XIVe siècle, la tuile est souvent préférée aux laves trop lourdes pour des charpentes importantes. La lave calcaire reste en usage dans les campagnes jusqu’au XIXe siècle. Elle est maintenant utilisée par quelques rares amateurs qui ont les moyens de se l’offrir et pour les restaurations des monuments. Comme les autres matériaux de "paysans", elle est devenue un produit de grand luxe. Sa mise en œuvre est difficile et les couvreurs capables de la poser sont peu nombreux. […] La lauze de Dordogne a couvert non seulement des édifices ruraux mais aussi des églises, chapelles, manoirs et maisons de ville. L’exemple le plus connu est la ville de Sarlat, patrie de La Boétie1. […] La mode a changé, ces hautes couvertures ne se font plus, la main-d’œuvre spécialisée se fait rare. La mise en œuvre est délicate et longue : […] il faut souvent monter ces matériaux lourds à de grandes hauteurs, les carrières ont pratiquement disparu. L’activité s’est réduite à la restauration des Monuments Historiques et des secteurs sauvegardés, l’ouvrage se fait avec des matériaux de réemploi.

1 Étienne La Boétie est un écrivain français né à Sarlat qui développe une passion pour la philologie antique.

Suite au départ à la retraite de son père, Thierry Chapoulie a repris l’activité familiale en 2004. Il exerce le métier de lauzier depuis 20 ans. Il est donc la troisième génération de lauzier dans la famille.

- Réseau de professionnels

Thierry Chapoulie ne démarche auprès d’aucune clientèle. C’est le bouche à oreille qui fait vivre son entreprise. Il a une réputation établie depuis trois générations. Il intervient essentiellement auprès de particuliers riches mais aussi auprès de chantiers classés Monuments Historiques (restauration de châteaux à Saint-Geniès par exemple). Il est parfois reconnu à l’étranger par son intervention ponctuelle chez des particuliers qui ont des maisons secondaires.

(Voir Fiche métier SEMA "Lauzier", 2007, © Centre de Ressources Sema, ISNN, 1763-6892)

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Ayant pour objectif de promouvoir la connaissance et la conservation du patrimoine national, la Fondation du Patrimoine s’attache à l’identification, à la préservation et à la mise en valeur du patrimoine non protégé. À travers les différentes actions qu’elle mène, elle contribue à la sauvegarde des monuments, édifices, ensembles mobiliers ou éléments remarquables des espaces naturels ou paysagers menacés de dégradation, de disparition ou de dispersion.

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Fondée en 1965, l’association Maisons paysannes de France a pour but de participer à la sauvegarde des maisons paysannes traditionnelles en encourageant et favorisant leur entretien et leur restauration selon les techniques et les savoir-faire propres à chaque région ; de protéger le cadre naturel et humain des maisons paysannes ; de promouvoir une architecture contemporaine de qualité, s’intégrant dans les sites et utilisant des matériaux sains.

Vieilles maisons françaises,
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Fondée en 1958 et regroupant aujourd’hui près de 20 000 adhérents, l’association Vieilles maisons françaises intervient auprès des pouvoirs publics afin de faire respecter l’intégrité des édifices anciens et leurs abords. Par la mise en place de nombreuses actions (revue, concours, participation aux Journées du Patrimoine, création d’un label Patrimoine Historique…), elle joue un rôle de connaissance et de sauvegarde du patrimoine historique et paysager auprès d’un large public. Elle mène aussi des actions d’information et de formation auprès des jeunes, scolaires et futurs professionnels du patrimoine.

Association ouvrière des compagnons du devoir du Tour de France (AOCDTF),
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Parallèlement à ses activités de formation, de recherche et de publication, l'association informe sur les métiers du compagnonnage à travers la Bibliothèque des compagnons du devoir et la Librairie du compagnonnage.

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Tél. : 01 42 02 06 23. Fax : 01 42 03 23 03.
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Outre son rôle de formation à différents métiers du bâtiment dans la tradition du compagnonnage, la fédération retrace au sein de ses musées l’histoire des compagnons et de leurs métiers et possède une librairie dédiée au compagnonnage. Avec les Meilleurs ouvriers de France, elle est à l’initiative de la création de la Cité des métiers et des arts à Limoges, celle-ci possédant un centre de documentation ouvert au public, présentant les chefs-d’œuvre réalisés par des compagnons et organisant des expositions temporaires sur les métiers de la main.

Institut de la couverture,
Thomas Lesne, 2, rue Jules Verne, 35000 Rennes.
Tél. : 06 26 76 60 12. / 02 99 65 51 96.
isc@compagnons-du-devoir.com
http://www.institut-couverture.com (le site n'existe plus)

Fondé par l’Association ouvrière des compagnons du devoir du Tour de France, ce centre de ressource et de recherche en couverture a pour objectif de développer les actions de rencontre, de recherche, de mémoire et de formation.

Les listes d’informations sont proposées à titre indicatif.

Thierry CHAPOULIE s’est vu décerné à Servanches le prix 2008 de l’association La Truffe qui a voulu distingué un métier devenu rare.

- Fiche métier SEMA "Lauzier", 2007, © Centre de Ressources Sema, ISNN, 1763-6892

Ouvrages

- LEBOUTEAUX Pierre. Traité de couverture traditionnelle, Éditions H.Vial.

Selon une étude menée par le Céreq en 2005, on recensait environ 140 entreprises ayant un certificat de qualification Qualibat relatif au matériau régional "couverture en lauzes", essentiellement réparties dans six régions : Rhône-Alpes, Midi-Pyrénées, PACA, Languedoc- Roussillon, Auvergne et Corse. Diverses opérations sont menées en région afin de favoriser l’emploi de lauze dans le bâti traditionnel. Ainsi on peut citer à titre d’exemple, le Parc National de la Vanoise qui a mis en place une politique de sauvegarde du patrimoine bâti intégrant un programme d’aide à la restauration des toitures traditionnelles en lauzes, initié en 1983. Il a déjà permis de rénover plus de 700 chalets d’alpages et habitations traditionnelles de Maurienne et de Tarentaise2.

Thierry Chapoulie est pratiquement l’un des derniers lauziers en Dordogne sachant que les autres se diversifient dans la toiture classique pour faire à la fois de la lauze, de la tuile et des charpentes. Il est certain que le problème d’approvisionnement en lauzes et le manque de main d’œuvre qualifiée jouent en leur défaveur. La fermeture ou l’épuisement des carrières d’extraction des lauzes calcaires provoquent des difficultés importantes. Les lauziers doivent réutiliser des lauzes de toitures anciennes ce qui détruit une partie du patrimoine bâti existant. Par ailleurs l’achat de ces lauzes récupérées coûte cher. Elles sont souvent remplacées par d’autres matériaux de couverture tels que les ardoises industrielles ou les tuiles. Une concurrence apparaît alors fragilisant encore plus le métier. Les toits en lauze sont délaissés au profit des grandes entreprises qui cassent les prix et ne prônent pas toujours la qualité du travail.

Malgré une reconnaissance de son métier par les associations et les pouvoir publics, Thierry Chapoulie évoque ne jamais avoir le droit aux aides qui lui ont été promises contrairement à certaines grandes entreprises de toitures en lauzes et autres matériaux de couverture. Ainsi le métier se perd au profit de cette industrie faute de subventions. Par ailleurs on ne trouve plus de jeunes intéressés par ce métier physique. Les départs à la retraite ne sont pas remplacés sauf pour certains par une reprise familiale. Seul un effort orienté des pouvoirs publics soucieux de conserver et de développer un habitat traditionnel en péril peut pérenniser cette activité. Les subventions pour la protection du patrimoine pourraient trouver tout leur sens.

2 Fiche métier SEMA "Lauzier", 2007, © Centre de Ressources Sema, ISNN, 1763-6892

Personne(s) rencontrée(s)

- Thierry Chapoulie

Localisation (région, département, municipalité) 

Aquitaine, Dordogne, Saint-Geniès

Adresse : Méjat
Ville : Saint-Geniès
Code postal : 24 590

Téléphone : 05 53 59 48 48
Adresse de courriel : tchapoulie@wanadoo.fr

Dates et lieu(x) de l’enquête : 29 avril 2010, Saint-Geniès
Date de la fiche d’inventaire : 21 mai 2010
Nom de l'enquêteur ou des enquêteurs : Lamia Gabriel
Nom du rédacteur de la fiche : Lamia Gabriel
Nom du photographe : Lamia Gabriel

N° d'inventaire Ministère Culture : 2010_67717_INV_PCI_FRANCE_00124
Identifiant ARK : ark:/67717/nvhdhrrvswvk2z3

Comment contribuer à l'inventaire : la méthode : http://pcilab-new.huma-num.fr/contribuer
Accéder à la fiche sur Wikipédia : ???

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