Le costume ossalois est un élément constitutif dominant du patrimoine et de l’identité du haut de la vallée d’Ossau. Il en existe plusieurs mais les plus emblématiques sont les costumes dits « de fête », portés à l’occasion des fêtes patronales, des mariages ou rarement pour d’autres occasions, ils s’affichent essentiellement le 15 août lors de las Hèstas de Noste Dama à Laruns. Ce sont ces « habits de fête » qui représentent actuellement le travail le plus conséquent pour les couturières.

Le costume ossalois est un élément constitutif dominant du patrimoine et de l’identité du haut de la vallée d’Ossau. Il en existe plusieurs mais les plus emblématiques sont les costumes dits « de fête », portés à l’occasion des fêtes patronales, des mariages ou rarement pour d’autres occasions, ils s’affichent essentiellement le 15 août lors de las Hèstas de Noste Dama à Laruns1. Ce sont ces « habits de fête » qui représentent actuellement le travail le plus conséquent pour les couturières.

 

La description qui suit fait état des éléments principaux qui entrent dans les costumes de fête et les costumes de paysan/paysanne des femmes et des hommes.

 

Les costumes féminins :

- Le costume de fête

Lo Cotilhon blanc (le jupon) est fait dans un rectangle de drap fin froncé à la taille par un ruban, des dentelles ornent le bas du jupon.
La Guimpa (guimpe) destinée à cacher la poitrine, elle portée sur les épaules et se compose de trois pièces de tissu en drap ou coutil fin. Les deux pièces de devant, visibles de tous, sont travaillées avec des éléments de dentelle et de broderies.
Lo Cotilhon (la jupe) existe de deux façons différentes : il y a celui de l’héritière et celui des cadettes. Lo cotilhon est confectionné à partir d’une pièce en laine fine de 3m à 3,50m de large de couleur rouge, celui de l’héritière se distingue de celui de la cadette par la présence d’un liseré vert au bas de la jupe. Un plissage en plis plats 3cm à 3,5 cm de profondeur est réalisé sur le devant de la jupe, pour cette opération les couturières de l’association les envoient chez un artisan breton qui fabrique encore des moules à plisser. Le dos de la jupe se distingue par des fronces, ou arruspas, qui permettent de maintenir la pièce du costume à la taille. La Jupe de la cadette n’est pas plissée mais froncée et peut avoir des couleurs différentes : rouge bordeaux, bleu, noir, marron ou vert. Le bas de la jupe est orné d’un ruban : la balayette.
L’arregus, assez rare, est une sur-jupe portée par certaines femmes mariées. De laine grossière ou bure, elle est de couleur noire doublée à sa base d’un large ruban de soie bleu de 10 cm de large. Plissée en plis plats elle est portée, relevée sur le devant et attachée dans le dos avec un cluchon, une agrafe en laiton richement travaillé. Quand une femme porte l’arregus, elle ne met pas de tablier.

Lo demandau ou debantau (le tablier) est une pièce de tissus en coton composé de dentelle et de plumetis fin. Il est soit plissé soit froncé et plus court de 10 cm par rapport à la jupe. De chaque côté retombent, en guise de décoration symbolisant ua cinta (une ceinture), deux rubans richement décorés, de 8 à 10 cm de large. Autrefois ce ruban ou cinta, d’un seul morceau, soulignait la taille et retombait de part et d’autre du tablier, aujourd’hui, par souci d’économie, les parties non visibles du costume ne portent plus de rubans et de broderies.

Lo justo ou portetas (corsage ouvert) à manche longues, généralement noir en soie brochée, est très cintré dans le dos et décolleté sur le devant, passant sous la poitrine. La partie dorsale en forme de losanges rattachée aux deux emmanchures se nomme las codetas. Le corsage se rejoint sous la poitrine bout à bout avec des crochets, et dans l’espace se trouvant entre la portèta et la guimpa passeront les deux pointes du grand châle. Les manches centrées sont composées de deux morceaux de tissu en soie brochée. L’extrémité des manches et le bas du corsage sont rehaussés d’autres pièces de tissus, soie, taffetas, dentelles, rubans dorés. Il existe un autre type de corsage, généralement noir, et entièrement boutonné jusqu’au cou que l’on appelle : lo perpoint.

Le Châle, dit châle de Manille, en soie brochée ou brodé de motifs souvent floraux, est un carré de 1,50m par 1,50m fini par de longues franges de soie nouées. Il est porté plié en triangle rectangle, posé sur les épaules, trois petits plis permettent de donner de l’aisance, et le tout est fixé à la portèta par des épingles. La pointe arrière est centrée et doit descendre jusqu’au bas du dos et les deux pointes avant recouvrent les épaules et avants bras et viennent se placer entre la guimpa et la portèta. Ce lourd châle de soie est ainsi maintenu par les épingles sur les épaules et par pression sous la poitrine.

La trensa (la tresse) est un ruban de soie ou de satin richement décoré d’autres rubans, de perles et cannetille. Il se fixe sur la pointe arrière du châle par une épingle à la base du capulet. Autrefois ce colifichet ornait les longues tresses de cheveux des ossaloises.

La Còha (sous-coiffe ou bonnette) est une pièce de coton matelassée de forme ronde, renforcée sur deux hémisphères et rehaussée de dentelle pour la partie visible. Deux ganses de fil de coton en point de chaînette sont fixées aux deux hémisphères, elles servent à faire glisser un ruban de couleur rouge que l’on noue sur le coté du visage et qui sert à tenir la bonnette à la tête. C’est sur cette bonnette que seront fixé le capulet ou le foulard de tête.

Lo capulet ou sacòt lusent (coiffe) est en drap de laine rouge doublé de coton de même couleur et pour la partie visible de deux bandes de soie brochée de 25 cm de large (cet ornement peut aussi être de couleur violine ou vinatosa. Il est composé à partir d’un rectangle de 1 m 10 par 75 cm, plié en deux et cousu sur un de ses côté. On fixe le capulet sur la bonnette par deux épingles à tête perlée, en laissant paraitre le revers de soie. La pointe arrière du capulet est arrangée en forme de « bec ». Le capulet se porte à partir de la première communion. Avant la petite fille porte une bonnette faite à partir d’un rectangle et de deux demi ronds de soie très colorée.

Las cauças (les chausses) tricotées en laine écrue. Elles sont constituées de deux parties : la partie haute est tricotée et la partie basse, lo gansòu, qui se pose sur le pied, est crocheté « à l’envers » avec une technique particulière où la couturière doit faire passer le fil derrière son cou.

Le « Saint-Esprit », bijou cousu sur un ruban de velours noir noué en serre cou. Il peut être à connotation catholique, protestante ou laïque. Il est composé de divers éléments de bijouterie en or ou en argent : chaînettes, croix, Saint –Esprit, perles, étoiles ...

 

- Le costume de Carnaval ou de Faranla

Le costume de carnaval reprend des éléments du costume de fête auxquels se joignent des pièces de vêtement plus épais et donc plus chauds. . La Jupe est en laine épaisse de couleur foncée . Le châle est en cachemire. . La còha est la même que pour les fêtes mais avec sera tenue par un ruban noir et on y épinglera un foulard de tête. . Le foulard de tête est un carré de 80 cm par 80 cm, plié en triangle et épinglé sur la còha. Sont utilisés des foulards classiques trouvés dans le commerce ou confectionnés dans des morceaux de tissu auquel on rajoute un ourlet et des franges. . Les chausses sont identiques à celles des fêtes, mais elles sont noires.

 

- L’Habit de paysanne

Le costume de paysanne est plus léger. Certaines femmes le mettent l’après-midi des fêtes de Laruns car moins lourd et moins chaud que le costume de fête.

Une jupe, la même que pour le Faranla

Un demandau ou debantau (le tablier) est noir flanqué de deux poche sur le devant et orné de dentelle à sa base.

Une longue chemise blanche à manches larges dont les extrémités sont froncées avec de tout petits plis.

Un gilet sans manche qui comporte les mêmes caractéristiques que las portetas.

La còha est la même que pour les fêtes mais avec sera tenue par un ruban noir et on y épinglera un foulard de tête.

La trensa (la tresse) plus coute et plus sombre composée d’un ruban noir ou foncé.

 

 

Les costumes de l’homme :

- Le costume de fête

La camisa (la chemise) se confectionne à partir d’un grand rectangle de coton 1,70m sur 90 cm de large. Elle a les caractéristiques d’une chemise à longs pans. Elle est rehaussée d’épaulettes et ses manches, réalisées à partir de rectangles de 60cm sur 50cm, sont amples, deux carrés d’aisance sont placés sous ces dernières. Deux rectangles, piqués et brodés au point d’épine, sont placés aux poignets, avec chacun une boutonnière. Un col droit d’une hauteur de 3,5 cm fini la chemise. Il est froncé très serré, point par point et piqué a la machine sur trois bandes décorées au point d’épine. Il se ferme par trois boutonnières dont les boutons sont faits à l’aiguille.

La culòta est un pantalon à pont de velours noir arrivant aux genoux. Les revers des deux poches du pont sont doublés de soie. Trois boutons permettent de fermer le pont. Un lacet placé à l’arrière permet d’ajuster le pantalon. Au niveau du genou, côté extérieur, on laisse une fente qui se ferme avec deux boutons. Tous les boutons du pantalon sont en velours.

Lo gilet (le gilet)
en flanelle écrue est découpé comme une veste, cintré croisé sur de devant et fermé par quatre boutons blancs. Il est flanqué deux grand revers. Ces derniers sont décorés de motif en fil fait à la machine à coudre.

La vèsta (la veste)
de laine rouge est confectionnée comme le gilet avec des manches en plus. Elle suit le même patron, elle est juste un peu plus longue et les manches sont « coupe tailleur ». 

Las cauças (les chausses) sont plus travaillées que celle des femmes car plus visibles notamment la partie haute est ouvragée de losanges et « boutons ».

Las camaligas ou liguetas (lies)
permettent le maintien des chausses au niveau des genoux. C’est un ruban de coton de couleur rouge tressé à plat. A chaque extrémité est cousu un flòc (bouquet-décoration). Ce flòc est bâti à partir de sept petits rubans de couleurs différentes rassemblés en boucles et fixés avec de la canetille. Las camaligas se lient sur le haut des chausses au niveau du bas du pantalon et se fixent entre les deux boutons qui ferment les jambes. On ne voit donc que les flòcs qui dépassent du bas du pantalon.

Lo saliér est une poche, en carré de 16 cm sur 16, avec un revers brodé composé d’un dessin et des initiales du garçon à qui il appartient. Cette poche est tenue par un ruban ou un lacet autour de la taille. Il se porte sur le haut de la fesse.

La Cinta (ceinture) en laine de couleur rouge peut se porter autour de la taille, mais son usage n’est pas très répandu, car elle masque lo saliér.

Le béret (Lo bonet) de fête est marron, contrairement à celui du quotidien généralement noir. Un flòc identique à celui des camaligas est cousu ou fixé avec une épingle, sur le côté, devant l’oreille droite.

 

- Le costume sobre (Faranla, Paysans, Musiciens)

Le second style de costume pour l’homme s’utilise pour plusieurs événements. C’est aujourd’hui un costume qui s’utilise pour des événements moins importants que la fête patronale du village (sauf pour les musiciens qui n’ont que ce costume). C’est à la fois le costume du Faranla, utilisé pour des sorties culturelles, où lors de foires agricoles. Il se compose d’un pantalon noir sobre et de la chemise utilisée pour le costume de fête, avec un béret noir ou le béret marron avec le flòc. Deux éléments le caractérisent : 

Le gilet de couleur sombre, très souvent noir, avec parfois des motifs. Il est identique au gilet de costume classique trois pièces.

La camisole est en satin ou petite laine fine, de couleur noire, marron ou bleue. Elle est composée : pour l’empiècement de six rectangles et pour le corps de trois rectangles. L’empiècement est doublé pour y fixer les trois parties du corps. Les manches, comme pour la chemise, ont deux carrés d’aisances et mesurent 60 cm sur 60. Des smocks décorent les empiècements avant arrière et au niveau des épaules. Les poignets sont froncés avec une boutonnière.

Tissus, fils, rubans, canetilles, perles

Difficultés d’approvisionnement des tissus, les couturières vont souvent en Espagne pour s’approvisionner. Ne travaillent qu’avec un seul plisseur dont l’atelier est situé en Bretagne.

Costumes de fêtes, costumes de paysans et paysannes, costume de musiciens.

L’apprentissage se fait au sein de l’association et auprès des anciens. Le prêt de pièces anciennes permet aux couturières de faire évoluer leurs créations.

Historique général :

La fixation des costumes traditionnels, emblème des petites nations françaises, débute sous le second empire et se poursuit sous la troisième république. La période romantique et la production d’oeuvres picturales relevant le pittoresque des habitants force l’imaginaire des citadins en mal d’exotisme et de voyage au long cours. Il est de bon ton, dans la bonne société bourgeoise et aristocratique de se faire confectionner des costumes par les couturiers locaux. Il faut cependant noter que les tailleurs-couturiers locaux s’inspirent des costumes portés par ces aristocrates et bourgeois, faisant évoluer les pièces des costumes traditionnels, dans le choix des matières et dans les coupes adoptées. La vallée d’Ossau n’échappe pas au phénomène romantique, elle fut même observée et décrite un quart de siècle avant ce mouvement : Pyrénéistes et curistes avaient déjà donné de éléments d’observation sur ces costumes pyrénéens. Les particularismes vestimentaires dans les Pyrénées en général, et en Vallée d’Ossau en particulier, se sont incontestablement affirmés au XIXe siècle. Selon J-F. Soulé, dans Les Pyrénées au XIXe siècle, c’est « une défiance, tout aussi incontestable, de la majorité des valléens pour les modes nationales ». Ce particularisme vestimentaire est exacerbé lors des fêtes où sont portés des costumes prévus uniquement pour ces occasions. Les costumes de la vie de tous les jours ont disparu petit à petit avec l’arrivée des modes successives, les dernières ossaloises portant quotidiennement les costumes dits traditionnels sont décédées dans les années 1990. Par contre les costumes de fêtes se portent toujours, avec depuis les années 1990 un regain d’intérêt de la population participant aux festivités en costumes traditionnels. Ce sont principalement ces costumes qui font l’objet de retouches ou de création. Les habits qui, avant, étaient le quotidien des Ossalois, font leur apparition pour des événements moins importants que la fête patronale, comme par exemple une foire agricole ou encore lors d’échanges culturels. Autrefois les costumes étaient fabriqués dans les familles, les pièces étaient entretenues et se transmettaient d’une génération à une autre. Il pouvait y avoir recours aux couturiers et couturières des villages pour une confection « à l’identique » des costumes de fête et qui y donnaient, en plus, une touche qualitative dans le soin apporté à certains détails. Les changements socio-économiques du dernier quart du XXe siècle engendrant une mutation considérable de la famille et les nouveaux espaces professionnels conquis par les femmes ont fait que certains savoir-faire ne se sont plus transmis car n’ayant plus de place dans les nouveaux modes de vie. Ainsi la couture et les travaux d’aiguilles sont passés du registre d’une nécessité, à un passe temps et en vallée d’Ossau conservation et port du costume étaient devenu critique. Ce n’est que depuis quelques années grâce à un dynamisme renouvelé autour des fêtes patronales que de nouveaux costumes sont créés essentiellement par ce groupe de couturières.

 

Historique particulier de l'entreprise, de la personne ou de l'organisme, de la forme d'expression ou de l'espace culturel faisant l’objet de la fiche :

La vallée d’Ossau n’échappe pas au phénomène romantique, elle fut même observée et décrite un quart de siècle avant ce mouvement. Pyrénéistes et curistes avaient déjà donné de éléments d’observation sur les costumes en vallée d’ossau... Nicole Mathis a appris à confectionner les costumes ossalois avec Marie Arruebo, une des dernières femmes à connaître et surtout à se servir de ce savoir-faire. Pendant les dernières années de sa vie Mme Arruebo a transmis son savoir à un groupe de femmes. Après sa mort ce groupe a continué à se réunir pour repriser et fabriquer de nouveaux costumes. Depuis début 2012, elles se sont constituées en association "Lo Didau de Maria" (Le dé de Marie en béarnais, en hommage à celle qui leur a transmis le savoir). Aujourd’hui, une quinzaine de couturières sont membres de l’association et répondent aux demandes des familles pour l’entretien des costumes anciens et la confection de nouveaux adaptés aux morphologies des nouvelles générations.

Il n’y a aucune action de valorisation particulière, cependant l’attachement des ossalois au costume et la raréfaction des pièces anciennes accompagnées du changement de morphologie font que les couturières, cherchent, innovent et proposent des costumes nouveaux que portent fièrement les jeunes générations.

ALBERT-LLORCA Marlène, BONNEMASON Bénédicte « La jupe rouge de l’héritière. Un costume « traditionnel » de la vallée d’Ossau », CLIO. Histoire, femmes et sociétés [En ligne], 36 | 2012, clio.revues.org/10816

AMCB, 1991, Le vêtement au quotidien, bulletin n°6, Pau, AMCB.

BRÉFEIL Robert, 1972, Images folkloriques d’Ossau, Pau, Éditions Marrimpouey Jeune.

BUTEL Fernand, 1894, Une vallée pyrénéenne : la vallée d’Ossau, Pau, Société de publicité catholique des Basses-Pyrénées, [En ligne] http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5477741d

CAZAURANG Jean-Jacques, 1983, Scènes de la vie rurale en Béarn, Le Coteau, Horvath.

FOURCASSIÉ Jean, 1940, Le Romantisme et les Pyrénées, Paris, Gallimard.

GUILBAUD Philippe, 2003, Belle ossaloise, Arudy, Editions Gypaète.

HOUBIGANT Armand Gustave, 1841, Journal d’un voyage de Paris aux Eaux-Bonnes, manuscrit BM de Pau. [En ligne, http://houbigant-journal-voyage.pireneas.fr ].

KEREBEL Jean-Luc, 1990, Costumes traditionnels d’Aquitaine, Bordeaux, Editions Sud-Ouest.

MARSAN Geneviève, 2010, « De pied en cap : rigueur et beauté des costumes pyrénéens », Pyrénées. Bulletin pyrénéen, 241, p. 1-82.

VIGNEAU-LOUS Jean, 1991, Costumes des vallées béarnaises : un ancien mode de vie, Pau, ABC.

Dates et lieu(x) de l’enquête : Juin 2012 à Laruns
Date de la fiche d’inventaire : Décembre 2014
Nom de l'enquêteur ou des enquêteurs : Rémy Berdou, Laboratoire ITEM, EA 3002, et Anne- Florence Bisson, stagiaires rattachée à la Chaire de recherche du Canada en patrimoine ethnologique, Université Laval, Québec
Nom du rédacteur de la fiche : Rémy Berdou, laboratoire ITEM EA 3002, programme de recherches « Inventaire du Patrimoine Culturel Immatériel en Aquitaine », Université de Pau et des Pays de l’Adour.

N° d'inventaire Ministère Culture : 2014_67717_INV_PCI_FRANCE_00332
Identifiant ARK : ark:/67717/nvhdhrrvswvk29s

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